Mort,
Sur une rive que créèrent mes larmes,
Dernière perle au bout d’une chaîne,
Balançant avec elle mon âme,
L’emportant dans les eaux soudain calmes,
Emplissant les fleuves de mes chagrins et peines...
Mort,
Dans mon cœur tu respires encore,
La nuit me dévoile ton sourire qui erre,
Tes yeux, condamnés à tort,
Par dieu, ses cieux et ses terres,
Par amour, par haine et misère...
Mort,
Le soleil a disparu depuis longtemps,
La lune est noire,
Et danse Satan,
Sur le rythme de mes péchés saoulards,
Entre pleures et brouillard,
Et souvenir d’un amant...
Mort,
Comme meurent les mirages,
Disparu... sans baiser d’adieu,
Et sur les murs, ton visage,
A peint les tristesses qui coloraient tes yeux,
Et dans chaque lieu,
S’est gravée, de ton amour, l’image...
Sur une rive que créèrent mes larmes,
Dernière perle au bout d’une chaîne,
Balançant avec elle mon âme,
L’emportant dans les eaux soudain calmes,
Emplissant les fleuves de mes chagrins et peines...
Mort,
Dans mon cœur tu respires encore,
La nuit me dévoile ton sourire qui erre,
Tes yeux, condamnés à tort,
Par dieu, ses cieux et ses terres,
Par amour, par haine et misère...
Mort,
Le soleil a disparu depuis longtemps,
La lune est noire,
Et danse Satan,
Sur le rythme de mes péchés saoulards,
Entre pleures et brouillard,
Et souvenir d’un amant...
Mort,
Comme meurent les mirages,
Disparu... sans baiser d’adieu,
Et sur les murs, ton visage,
A peint les tristesses qui coloraient tes yeux,
Et dans chaque lieu,
S’est gravée, de ton amour, l’image...